Hanami

Hanami parisien !

Bon, bien sûr, ce n’est pas Kyoto. Le ciel au-dessus de ces branches n’est pas imprégné des subtils encens filtrant à travers les toits galbés des temples zen. Mais la géographie ne limite que l’esprit qui s’y laisse enfermer !

Hanami parisien !

Il n’y a pas de section « langues et cultures orientales » à l’Université d’Orsay, mais rien n’empêche de s’attarder un peu sur l’un des parkings du campus, pour contempler la splendeur universelle du printemps et pratiquer, l’âme recueillie, l’hanami…

Hanami parisien !

C’est beau, un cerisier en fleur !

Entre nous, chers lecteurs à l’esprit vagabond et sensible, ne trouvez-vous pas qu’il y a aussi dans la nébuleuse d’Orion comme une invitation secrète à un long hanami cosmique ?

[Ô délicat enchantement ! Un jour, je vous parlerai des cerisiers en fleurs sur la troisième planète de kappa Orionis…]

ET